Quand on tape dans Google : Ramassage des ordures à Bruges on a la réponse suivante :
Le service de ramassage des ordures ménagères
La prise en charge par le budget communal ou par la taxe, présente
l'attrait de la simplicité et d'un réel contrôle sur le service de
ramassage des ordures ménagères. C'est d'ailleurs les modes de
financement le plus utilisés car le service est souvent géré dans le
cadre d'un contrat de marché conclu entre la commune et l'exploitant.
Cependant, ces modes de financement présentent des limites notamment,
en ce qui concerne les coûts pour le budget de l'Etat et lorsqu'il
s'agit de rendre le coût du service proportionnel au service
effectivement rendu aux usagers. C'est pourquoi le financement du
service par la REOM, perçue directement auprès des usagers, semble être
le mieux à même de répondre à ces soucis d'autonomie et d'équité. Dans
cette optique, nous verrons que si l'accroissement des déchets ménagers
impliquent leur nécessaire gestion par le service de ramassage des
ordures ménagères (I), aujourd'hui s'impose une nécessaire évolution du
service orientée vers une gestion de type SPIC (II)C'est donc une méthode de taxation d'enlèvement des ordures ménagères appliquée dans quelques villes belges dont Bruges , Gand, Anvers,...et Amsterdam aux Pays Bas.
Chez nos amis flamands on ne veut pas payer pour la mer.. des autres .
Ainsi je pense que l'on peut enfin fermer le couvercle sur cette énigme énigmatique.
Donc il faudrait refaire la chanson des années 60 :
Ce soir tu sortiras la poubelle avant d'aller danser ...après lui avoir mis sa muselière.
Le Flandrien